Lus en 2012

  • Couverture de Les Barbouzes : entre gens du même monde
    Décembre 2012Les Barbouzes : entre gens du même monde de Chanoinat & Da Costa.
    Dans la même série que celui-ci dessous, des caricatures basées sur le film Les Barbouzes.
    Les dessins sont aussi bien, je me souviens moins bien du film, un peu en dessous des Tontons.
  • Couverture de Les Tontons : éparpillés façon puzzle
    Décembre 2012Les Tontons : éparpillés façon puzzle de Chanoinat & Da Costa.
    Un livre de caricatures basé sur le film Les Tontons Flingueurs.
    Une bonne patte qui rappelle et donne envie de revoir ce film culte.
  • Couverture de La Survie de l’espèce
    Décembre 2012La Survie de l’Espèce de Paul Jorion & Grégory Maklès.
    Un économiste et un dessinateur font équipe pour vous raconter tout ce que vous vouliez savoir sur les causes de la Crise Financière.
    Très intéressant, malin et drôle, même si la situation décrite est déprimante.
  • Couverture de Robinson Crusoe
    Août 2012Robinson Crusoe de Daniel Defoe.
    Les aventures d’un jeune homme anglais qui veut naviguer et finit sur une île déserte.
    Un bon vieux classique, un peu trop moralisateur à mon goût.
  • Couverture de La Hulotte numéro 97
    Août 2012La Hulotte no 97.
    Le journal le plus lu dans les terriers se penche sur l’escargot des haies.
    Forcément, on regarde les escargots différemment après la lecture, et les dessins sont superbes !
  • Couverture de Messiah
    Juillet 2012Messiah de Boris Starling.
    Un policier spécialisé dans l’étude de crimes en les regardant du point de vue du meurtrier enquête sur la morts d’hommes dont on a coupé la langue et placé une cuillère en argent dans la bouche.
    La partie enquête policière du livre est plutôt bien construite et pleine de suspense, mais l’attrait pour le gore est de trop.
  • Couverture de The selfish gene
    Février 2012The selfish gene de Richard Dawkins.
    Un livre qui affine la théorie de l’évolution en se centrant sur le gène comme protagoniste principal.
    Ça m’a pris un temps fou de finir ce livre. La théorie se tien très bien et la fin est intéressante, mais le milieu du livre est une répétition et une déclinaison de la théorie vue sous divers angles, avec des renvois à des notes en fin de livre qui pourraient être insérées dans le corps de celui-ci si un effort de typographique était fait. L’effet stylistique de dire « le gène veut… », même si l’auteur le présente comme un effet stylistique, me paraît de trop, cherche à mettre de l’intention dans quelque chose qui n’en a pas.